lundi 15 mai 2017

Mes deux textes pour l'infirmière magazine



Tandis que sur le web j'étais absente, j'étais super active de l'autre côté de l'écran. Dans ce monde qui suinte, respire, vit et parfois chlingue je me suis consacrée corps et âme ("n'en fait pas trop Suzie...") à différents projets. 

Tout d'abord, rappelez vous, j'avais suspendu ce blog pour pouvoir suivre des cours à Paris Diderot et obtenir un DU (diplôme universitaire). Expérience très intéressante et plus encore sur laquelle j'envisage de revenir au cours d'un article détaillé.

Ensuite j'ai candidaté à un poste de cadre de santé. Là encore, une expérience enrichissante et contrastée pour un résultat différent, qui mérite un article détaillé.

Enfin la troisième chose qui m'a tenu éloignée du blog relève cette fois-ci de la vie perso à savoir l'achat d'une maison à rénover. J'y suis installée depuis août 2016 et aujourd'hui enfin je commence à y trouver sérénité et bonheur. Les travaux se terminent, j'y suis bien, nous y sommes bien. Cet épisode de ma vie ne fera pas l'objet d'article... C'est pas "Mode & Travaux" ici!

Néanmoins, qu'ils soient pro ou perso, ces 3 gros dossiers ont accaparés mon temps d'une façon que je n'avais pas soupçonné. Dans ma hiérarchie des choses à faire, l'écriture n'a cessé de dégringoler, évitant de peu les oubliettes. 

Fort heureusement à deux reprises l'équipe de l'infirmière magazine m'a contacté pour pour écrire un article inédit. Un article destiné à la rubrique "L'invité" de la page consacrée à l'actualité sur le web. Cette prise de contact était une aubaine car elle m'a évité de justesse la léthargie. J'ai ainsi retrouvé, le temps de la rédaction, le plaisir de manipuler les mots, de jouer avec, de les associer, de les triturer. Il s'agissait d'un exercice nouveau et stimulant car incluant une contrainte de mots. Savoir trancher dans le texte, retirer le superflu pour conserver l'essentiel... Habituée à des textes longs, il m'a fallu me faire violence et travailler ma frustration, pour réduire mon propos tout en conservant l'idée originelle. Peut-être un jour si l'envie de se replonger dans ces deux histoires me traverse l'esprit publierais-je les versions longues... En attendant, pour ceux qui ne les auraient pas vu passer dans l'Infirmière magazine voici les versions online des deux textes.


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